Et si on parlait enfin de l’âge légal des mineurs criminels en France ?
La France, pays des droits de l’Homme, des croissants et des tergiversations infinies.
On est en 2025, et on se pose encore la question : pourquoi hésite-t-on à durcir le ton avec les mineurs qui passent à l’acte ?
À 15 ans, un gosse peut planter un couteau dans un thorax ou monter un business de came devant un collège, et pourtant, on le regarde encore trop souvent comme un ange égaré qu’une bonne fessée symbolique suffira à remettre dans le droit chemin.
Qu’est-ce qui coince, nom de dieu ?
La sacralisation du mineur, ce totem intouchable
On a cette obsession nationale : un mineur, ça se protège, ça se rééduque, ça ne se juge pas comme un grand.
Derrière chaque petite frappe, on imagine un môme brisé par la vie, un produit du système qu’on a laissé pourrir.
Sauf que pendant qu’on philosophe, les chiffres dansent une autre valse : la délinquance des mineurs explose, des gamins de 14, 15, 16 ans qui n’ont plus aucune limite. Les flics le savent, les profs le vivent, les victimes le pleurent.
Alors pourquoi on traîne à leur mettre un vrai stop ?
Le frein des bien-pensants et de la paperasse
Les intellos perchés sur leurs certitudes bloquent le truc. « Baisser l’âge des sanctions ou durcir les peines avant 13 ans ? Scandaleux ! » qu’ils braillent, la Convention des droits de l’enfant brandie comme une relique sacrée.
Protéger les mômes, d’accord, mais protéger les autres, ça compte pas ?
Et puis, il y a la machine administrative : réformer la justice des mineurs, c’est des mois de blabla parlementaire, des élus qui tremblent pour leurs voix, et au bout, zéro couilles pour trancher.
Et pourtant, ailleurs, ça roule
En Suisse, aux Pays-Bas, ou dans certains coins des États-Unis, on n’hésite pas à juger des mômes plus durement quand ils dérapent grave.
Résultat : des gosses qui captent vite que la vie, c’est pas un jeu vidéo sans Game Over.
Chez nous ? On préfère les mesurettes éducatives et les foyers saturés, histoire de produire des récidivistes bien rodés.
Le vrai blocage ? Les tripes qui manquent
Durcir la justice des mineurs, ça demande du cran.
Dire qu’un gosse de 14 ans peut être un danger public, pas juste une victime à câliner.
Affronter les associations qui hurleront au fascisme et les politiques qui flipperont pour leur image.
Tant qu’on n’osera pas, on regardera les stats grimper et les couteaux voler.
Jusqu’où, hein ? Jusqu’à un carnage en live sur les réseaux ?
Réveille-toi, France.